Commemorating the Victory of 1967

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King and Country figurines IDF006 (Radio Operator), IDF001 (General Moshe Dayan) and IDF004 (Officer w/UZI) pictured on a flag of Israel.

Some time ago, I was thrilled to learn that King and Country was about to release the very first IDF (Israel Defense Forces) figurines of its fantastic collection, to commemorate the 50th anniversary of the Six Day War in June 1967.

To quote from the text accompanying this collection:

“This dramatic new postwar military series of figures and fighting vehicles will tell, in miniature, just why Israel had to do what it did and how with a relatively small regular and part-time army it fought and defeated some of its most numerous, best equipped and belligerent neighbors.”

That says it all and I’m very happy that King & Country has decided to honour the sacrifice of these men and women at a time of great peril for their homeland – the State of Israel.

At the same time, we have to be lucid enough to recognize all the courage it took for this company to make such a bold decision and go forward. In a world where Israel’s enemies are always prone to deny it any quality and even its basic right to exist, it’s imperative to salute those who are not afraid to row against the current. The brave men and women who serve Israel in its armed forces deserve it. Fully.

Ces Anglais morts pour la France

CesAnglais
Trois figurines (représentant des soldats australiens) de la collection King & Country photographiées devant le livre de Jean-Michel Steg.

Ce matin, les visiteurs qui auront effectué le trajet pour commémorer le 100e anniversaire de la bataille de la Somme entonneront à 7 heures 30 un « God Save the Queen » bien senti et rempli d’émotion en hommage à ces valeureux combattants dont la bravoure a fait en sorte qu’on se souvient maintenant du 1er juillet 1916 comme ayant été le jour le plus meurtrier de l’histoire britannique, ce moment où nous nous remémorons Ces Anglais morts pour la France pour reprendre le titre de l’excellent ouvrage de Jean-Michel Steg publié chez Fayard.

Retraçant les différentes facettes de cette bataille mémorielle, l’auteur nous rappelle les motivations stratégiques des planificateurs de cette intervention qui avait pour objectif d’enlever de la pression sur les Français à Verdun, mais qui se solda par un échec – notamment en raison du fait que les généraux britanniques avaient sous-estimé leurs adversaires, envoyant dans le no man’s land des « […] troupes britanniques [qui] vont devoir affronter des soldats allemands bien entraînés, au moral élevé, et protégé par des défenses denses et efficaces. » Avant de quitter leurs tranchées, les hommes vêtus de kaki étaient voués à être fauchés.

On peut également marcher au combat ces « […] soldats protestants [de la division de l’Ulster] dont certains se sont élancés en portant leur écharpe de l’ordre d’Orange », ces valeureux Terre-neuviens dont 90% des effectifs sont tombés au combat et dont la majorité ont « […] été frappés à découvert avant même d’avoir atteint leurs tranchées de départ » devant Beaumont-Hamel, ces Français qui, en compagnie des Britanniques combattant à leurs côtés, ont effectué une percée malheureusement inexploitée ou encore ces « […] Gordon’s Highlanders, qui ont finalement conquis la première ligne de tranchées allemande le 13 novembre 1916, dans les derniers jours de la bataille de la Somme. »

Au-delà des aspects techniques et propres à la geste militaire, c’est surtout l’épaisseur humaine du sacrifice de ces braves dont Jean-Michel Steg nous fait éloquemment prendre conscience qu’il faut retenir. On peut les compter sur les doigts d’une main, les ouvrages en français relatant les hauts faits d’armes des soldats de Sa Majesté durant la Première Guerre mondiale. Marchant sur les traces de Sir John Keegan et non moins dépourvu de l’insigne talent de cet illustre précurseur, l’auteur a donc le mérite bien senti d’apporter une contribution inestimable dans l’historiographie militaire.

Ce matin, alors que je m’apprête à déployer mon unifolié et célébrer l’anniversaire de mon pays, le Canada, je ne pourrai m’empêcher de penser à ces Terre-neuviens qui ont consenti ces énormes sacrifices qui allaient les amener à rejoindre la confédération canadienne en 1949. Il en est de même de tous ces hommes – catholiques ou anglicans, Irlandais ou Écossais, professionnels des armes ou membres de la « nouvelle armée » de Kitchener, qui ont lancé un assaut impossible mais combien révélateur de cet esprit de sacrifice qui allait mener les Alliés à la victoire en 1918.

Un très bon moment de lecture, en définitive, que je ne saurais assez chaudement recommander à toute personne intéressée par la chose militaire ou l’étendue parfois inexplicable du courage humain.

Ces Anglais morts pour la France de Jean-Michel Steg, un titre qui figure maintenant parmi les meilleurs titres de ma bibliothèque.

Happy Birthday, Duke of Wellington

Wellington
King and Country item NA256 resting on the second tome of Rory Muir’s biography of the Duke of Wellington, with the Union Jack flag in the background.

Happy Birthday to the Duke of Wellington, Arthur Wellesley, victor of Waterloo. An extraordinary figure whose unparalleled contribution helped saved Europe and the world from Napoleonic hegemony and tyranny. He would be 247 years old!

Remembering Gallipoli

For those of you who are interested in military history – and I suspect you are if you took time to visit this blog – you might also like to know that King and Country (the largest producer of collectible toy soldiers in the world) has just released some items commemorating the famous and tragic battle of Gallipoli in 1915. Have a look for yourself and you will understand why I decided to take a few moments to write about these figures representing the brave ANZACS servicemen.